Richard Vachon

À propos

L’ancien directeur du centre culturel Le Parvis termine sa trilogie de spectacles entamée il y a deux ans. On se rappellera qu’il avait présenté d’abord Le show du DG autour de la musique noire américaine en février 2015, puis Le DG fait son cinéma autour de la musique de films en février 2016. Le voici maintenant qu’il ferme la boucle avec Le show d’adieu du DG, un spectacle musical dans lequel il reprendra certains grands succès de la chanson française et québécoise. Ainsi, il achève le cycle de spectacles qu’il avait annoncé, abordant pour chaque fois l’une de ses plus grandes influences musicales.

Le show d’adieu du DG sera plus épuré et plus personnel que les précédents, question de pouvoir faire corps avec le public. Le tour de chant comptera une vingtaine de titres, parmi lesquels figurent des classiques français tel que Amsterdam de Jacques Brel, Non je n’ai rien oublié de Charles Aznavour et Bravo Monsieur le monde de Michel Fugain. En deuxième partie viendront les grandes chansons du Québec, dont font partie Bozo de Félix Leclerc, Le plus beau voyage de Claude Gauthier et Un peu plus haut un peu plus loin de Ginette Reno (Jean-Pierre Ferland). Le chanteur sera accompagné au piano par Charles-Emmanuel L’Espérance (NOEM, Fragile Fantôme, etc.) et André Simoneau à la guitare (La musiquetterie).

Le choix des œuvres met bien la table pour ce qui se dessine dans la carrière de Richard Vachon, puisqu’il est devenu depuis le 1er novembre 2016, le premier employé permanent de la Société nationale de l’Estrie : un organisme dont la mission est de faire la promotion de la langue française, de l’histoire et de la culture du Québec. Ce nouveau poste de direction lui sied à merveille, lui qui cherchait à prendre la barre d’un organisme qui lui permettrait d’embrasser de nouveaux horizons pour les années à venir. Il a notamment hérité dans le cadre de ses fonctions à la Société nationale, du mandat de coordination de la Fête nationale en Estrie, confié par le Mouvement national des Québécoises et des Québécois.

C’est donc dans ce bel esprit de transition que Richard Vachon tenait à saluer la communauté du Parvis qui a cru à ses projets du temps de sa gouverne, et à embrasser la mission que lui confie pour les années à venir la communauté de la Société nationale de l’Estrie.