Nous sommes ici, devant les bureaux sherbrookois du tribunal administratif du logement, l’Association des locataires de Sherbrooke mettait beaucoup d’espoir dans la naissance de la régie du logement le premier octobre 1980, depuis l’Association des locataires à jouer au mieux son rôle de chien de garde. De la régie du logement.
L’avènement de la régie du logement à l’automne 80 allait de pair avec une réforme importante sur la réglementation sur le logement. Dès le début on s’est aperçu que notre tâche de chien de garde la régie du logement serait ardu alors que la régie suggérait des augmentations de loyer trop élevé autour de 10 % par année, nous proposions à l’époque 2% tout comme le taux de gras dans la pinte de lait 2%. L’Association des locataires a aussi demandé un vrai contrôle de loyer avec le registre des baux.
Régie du logement et encore plus le tribunal administratif du logement égale échec à donner une information de base à la population québécoise, l’institution n’a permis une équité de traitement entre locataire et locateur, créé pour permettre en premier lieu : le maintien dans les lieux, l’institution a une grande responsabilité dans les évictions frauduleuses, l’insalubrité et l’augmentation indue du prix des loyers. Le TALQ est une tour de pise qui penche toujours du côté des locateurs. Exemple les propriétaires voulaient instituer des listes noires des locataires, qu’à cela tienne le plumitif du TALQ joue ce rôle de faire connaître les locataires qui ouvre un dossier au TALQ. La CORPIQ et les propriétaires étaient irrité de la cession de bail le gouvernement l’a aboli à la demande des propriétaires.
Pour parler du gouvernement québécois, nous avons pu entendre Cléopâtre dans la façon que le gouvernement québécois présente la nouvelle loi 31 modifiant nombre de dispositions légales. La lecture qu’en fait la ministre France-Élaine Duranceau est une vision de snobs à la Cléopâtre, cela parait bien mais ne change en rien l’état de déséquilibre entre propriétaires et locataires. Ce que veulent les ménages locataires ce n’est pas d’être mieux dédommagés en cas d’éviction, c’est plutôt de rester dans leur logement. Les améliorations réelles à la loi, sont trop peu trop tard et aurons totalement marginale sur la crise du logement.
Les services du TALQ sont insuffisants, inadéquats et tellement de mauvaise qualité qu’ils mettent en danger les droits des ménages locataires et ça la ministre en est responsable. Le syndicat des employéEs du TALQ n’est pas dupe et déplore la situation dans laquelle cela met ses membres, la faute: les boss et nos éluEs qui se prennent pour des monarques à la CLÉOPÂTRE.